De la cuisine au code : comment l’artisanat m’a formé au développement — Wanalike Blog
· 3 min de lecture · par Wanalike
Entre une pâte feuilletée bien pliée et un code bien indenté, je prends les deux. Même recette : patience, précision, et un peu de sueur sous la toque.
Avant de compiler, je montais des blancs en neige. Avant git push, je poussais des fournées. Un jour j’ai ouvert un terminal : l’odeur a changé, la rigueur est restée.


Je n’ai pas appris le code à l’école : je l’ai appris avec les mains. Je rate, je recommence, et je recommence mieux. À force, tu sens la pâte, tu comprends la logique.



Puis vient le moment où tu sors ta première belle fournée en prod. Pas parfaite, mais fiable. Et surtout, tu sais comment l’améliorer.


La meringue, c’est comme la syntaxe : simple mais fragile. Tu bats trop, tu casses. Tu charges trop, tu satures. L’élégance, c’est de s’arrêter au bon moment.

Avec Wanalike et Tipsters‑Pronostics, j’ai juste changé de four. Même méthode : préparer, goûter, observer, corriger, livrer. Structure solide (schémas clairs), texture fluide (PHP/JS), finition soignée (UX).
Le bon code comme le bon feuilletage : ça se voit dans les coins.
Être autodidacte, c’est refaire sa pâte tous les matins. Tu doutes, tu ajustes, tu persévères — et un jour tu goûtes le résultat et tu sais pourquoi tu t’es levé.
Rédigé avec amour et café salé par KoS_.